13h30. C'est l'heure fatidique. Celle qui suit la pause déjeuner, et durant laquelle revient la question : Faire ou ne pas faire un petit somme ?
Pour autant, la sieste en semaine c’est un lointain souvenir - de la maternelle plus exactement.
Enfin pas partout. Faisons un rapide tour d'horizon : de l'Espagne où la “siesta” est sacro -sainte, au Japon où les micro-siestes de 15 minutes appelées “Inemuri” sont parfois obligatoires, en passant par la Chine où la sieste est un droit constitutionnel, pour finir aux Etats-Unis qui ne sont pas en reste : c’est eux qui ont inventé le concept de “power nap”.
La sieste au travail, une pratique sous-estimée ? Parlons-en.
Commençons par ce qu'il ne dit pas : le Code du Travail n’interdit pas la sieste sur le lieu de travail. Il ne l'autorise pas explicitement non plus. Bref, pas clair.
Cependant, il y a autre chose sur lequel le Code du Travail est pour le coup très clair :
Ça tombe bien car la sieste comporte de nombreux bénéfices.
Pour n’en citer que quelques-uns :
Il va donc sans dire (mais on le dit quand même) que la sieste contribue à la meilleure santé globale et donc mentale des équipes, et prévient ainsi les risques d'épuisement et de burn-out entre autres.
Oui, mais certaines le sont plus que d'autres 🤓. Voyons voir…
Pour récapituler :
Dans le cadre du travail et du quotidien, il est préférable de limiter sa sieste à 20 minutes maximum afin de ne pas rentrer dans un sommeil profond qui pourrait vous décaler et rendre le réveil difficile. Le type de sieste à choisir peut aussi dépendre du niveau de fatigue de la personne et de sa charge de travail.
Les freins culturels étant encore très ancrés, il faut surtout pouvoir accompagner les collaborateurs dans cette nouvelle pratique en la normalisant et en l'encourageant. Cela passe notamment par l'exemple : si les managers le font alors les équipes suivront.
Pour officialiser la mise en place de la sieste au travail, pourquoi ne pas en faire une charte ? Celle-ci pourrait par exemple préciser des créneaux horaires, des règles de comportement, une durée maximale, etc.
On manque parfois de place pour aménager une salle dédiée. Est-ce toutefois une bonne raison de ne pas faire de sieste ? Certainement pas.
D'abord car il est possible de faire la sieste à son bureau (surtout s'il s'agit d'une sieste secondes ou d'une sieste flash). On peut aussi aménager des fauteuils dans un recoin peu passant. Par ailleurs, on nous souffle à l'oreille que les cocons à sieste de chez Nap & Up sont une très bonne option pour les espaces restreints.
À tous ceux qui vous répondront qu'ils “n'ont pas le temps” ou qu'ils “ne savent pas faire”, vous pourrez dire “mais si, mais si”.
Commençons par rentrer dans une état de relaxation profonde en adoptant la respiration carrée.
On vous montre ?
Et puis, vous le savez : avec la répétition on s’améliore. C’est aussi vrai pour la sieste apparemment. À vous de jouer.
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* Résultat de l’étude “People at Work 2022” de l’ADP, en Septembre 2022
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